Nous avons constaté une augmentation des tentatives de fraudes faisant usage du nom ODDO BHF. Cela concerne principalement des sites internet portugais, qui usurpent l'identité d'ODDO BHF et vous demandent d'effectuer des paiements. Ces sites ne sont pas légitimes et ont été créés par des fraudeurs. Nous vous demandons donc d'être extrêmement vigilants.
Si vous avez le moindre doute quant à l'authenticité de tout document ou sollicitation, n'hésitez pas à vous adresser directement à votre interlocuteur habituel ou à nous contacter au +33 1 44 51 85 00.
La société dirigée par Philippe Oddo est devenue un groupe franco-allemand. [...]
C'est l'an 2 pour ODDO BHF, et en même temps l'heure du bilan pour la banque franco-allemande issue du rapprochement entre Oddo & Cie et BHF-Bank. Le nouveau groupe vient de publier ses résultats annuels.
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Le groupe a enregistré un produit net bancaire de 591 millions d'euros (contre 577 millions l'an dernier). Il a dégagé, comme prévu, un résultat brut d'exploitation de 99 millions d'euros, contre une perte de 67 millions un an plus tôt. [...]
"Entré au capital du holding de tête de BHF en juillet 2014, ODDO BHF a ensuite, en janvier 2015, racheté Seydler - banque d'investissement spécialisée dans le financement des PME - puis, quelques mois plus tard, le gestionnaire d'actifs Meriten. [...] Au total, depuis trois ans, nous avons doublé de taille. Nos actifs pondérés du risque sont passés de 1,8 millards d'euros à 3,9 milliards"
Le groupe a aussi annoncé la fusion entre FRANKFURT-TRUST et la société de gestion ODDO BHF Asset Management. Le nouvel ensemble a annoncé un encours cumulé de plus de 61 milliards d'euros ; ce qui porte, avec la banque privée, les actifs gérés par le groupe ODDO BHF à 106 milliards d'euros.
Nos actualités
Trois économistes britanniques, Paul Marsh et Mike Staunton de la London Business School ainsi qu’Elroy Dimson de l’Université de Cambridge, ont entrepris une méticuleuse aventure : ils ont retracé 35 marchés actions partout dans le monde en remontant aussi loin que possible dans le temps, afin de répondre à une question théorique fondamentale en matière d’investissement : les actions sont-elles véritablement supérieures à toutes les autres classes d’actifs sur le long terme ?
Les crises économiques laissent en héritage un fardeau de dettes publiques. Les phases d’expansion devraient être mises à profit pour que les Etats se désendettent et reconstituent des marges de stabilisation budgétaire. C’est plus facile à dire qu’à faire. Voyons ce qui s’est passé après les deux dernières grandes crises.
Nous avouons entretenir un “biais” stratégique en faveur du marché américain et les 15 dernières années nous donnent raison. Depuis la fin de la crise financière de 2007-2008, l’Europe n’a surperformé que durant 27 mois, soit un peu plus de deux ans. La surperformance structurelle des États-Unis par rapport à l’Europe s’explique principalement par une dynamique des bénéfices par action plus robuste outre-Atlantique.