Nous avons constaté une augmentation des tentatives de fraudes faisant usage du nom ODDO BHF. Cela concerne principalement des sites internet portugais, qui usurpent l'identité d'ODDO BHF et vous demandent d'effectuer des paiements. Ces sites ne sont pas légitimes et ont été créés par des fraudeurs. Nous vous demandons donc d'être extrêmement vigilants.
Si vous avez le moindre doute quant à l'authenticité de tout document ou sollicitation, n'hésitez pas à vous adresser directement à votre interlocuteur habituel ou à nous contacter au +33 1 44 51 85 00.
Les 10 et 11 janvier, les décideurs et les acteurs du monde de demain se sont donnés rendez-vous au ODDO BHF Live. Durant deux jours, ODDO BHF a proposé à ses clients et partenaires une expérience exclusive et 100% digitale : 50 décideurs de renommée internationale se sont relayés en live pour décrypter les grandes tendances économiques, politiques et financières qui façonneront l’année 2022.
À l’instar d’Al Gore (ancien vice-président des États-Unis), de Catherine MacGregor (CEO de Engie) ou d’Ola Källenius (CEO de Daimler), grands patrons et personnalités économiques et politiques se sont jointes à nos experts pour livrer leur vision de l’avenir : concurrence entre la Chine et les États-Unis, impact du changement climatique, avenir des secteurs de la finance, des technologies et de l’agroalimentaire...
En partenariat avec BBVA et Natixis, ODDO BHF donne le ton de la nouvelle année : Make every day an opportunity.
Nos actualités
Trois économistes britanniques, Paul Marsh et Mike Staunton de la London Business School ainsi qu’Elroy Dimson de l’Université de Cambridge, ont entrepris une méticuleuse aventure : ils ont retracé 35 marchés actions partout dans le monde en remontant aussi loin que possible dans le temps, afin de répondre à une question théorique fondamentale en matière d’investissement : les actions sont-elles véritablement supérieures à toutes les autres classes d’actifs sur le long terme ?
Les crises économiques laissent en héritage un fardeau de dettes publiques. Les phases d’expansion devraient être mises à profit pour que les Etats se désendettent et reconstituent des marges de stabilisation budgétaire. C’est plus facile à dire qu’à faire. Voyons ce qui s’est passé après les deux dernières grandes crises.
Nous avouons entretenir un “biais” stratégique en faveur du marché américain et les 15 dernières années nous donnent raison. Depuis la fin de la crise financière de 2007-2008, l’Europe n’a surperformé que durant 27 mois, soit un peu plus de deux ans. La surperformance structurelle des États-Unis par rapport à l’Europe s’explique principalement par une dynamique des bénéfices par action plus robuste outre-Atlantique.