Nous avons constaté une augmentation des tentatives de fraudes faisant usage du nom ODDO BHF. Cela concerne principalement des sites internet portugais, qui usurpent l'identité d'ODDO BHF et vous demandent d'effectuer des paiements. Ces sites ne sont pas légitimes et ont été créés par des fraudeurs. Nous vous demandons donc d'être extrêmement vigilants.
Si vous avez le moindre doute quant à l'authenticité de tout document ou sollicitation, n'hésitez pas à vous adresser directement à votre interlocuteur habituel ou à nous contacter au +33 1 44 51 85 00.
Dans un entretien publié le 19 février dernier dans Le Progrès, Philippe Oddo revient sur les différences entre la France et l’Allemagne qu’il a pu observer en tant qu’entrepreneur, notamment aux niveaux territorial et fiscal. Il souligne ainsi le rôle central des entreprises dans la redynamisation des territoires et la nécessité de baisser les charges sociales en France.
Il évoque en outre le renforcement des relations entre les deux pays, avec la signature du traité de coopération et d’intégration franco-allemandes, signé le 22 janvier 2019 à Aix-la-Chapelle à l’occasion du 56e anniversaire du Traité de l’Elysée, et rappelle qu’il est, selon lui, « nécessaire que nos deux grandes économies s’associent pour être forces de proposition. […] Si le moteur franco-allemand ne marche pas, l’Europe ne marchera pas. »
Nos actualités
Trois économistes britanniques, Paul Marsh et Mike Staunton de la London Business School ainsi qu’Elroy Dimson de l’Université de Cambridge, ont entrepris une méticuleuse aventure : ils ont retracé 35 marchés actions partout dans le monde en remontant aussi loin que possible dans le temps, afin de répondre à une question théorique fondamentale en matière d’investissement : les actions sont-elles véritablement supérieures à toutes les autres classes d’actifs sur le long terme ?
Les crises économiques laissent en héritage un fardeau de dettes publiques. Les phases d’expansion devraient être mises à profit pour que les Etats se désendettent et reconstituent des marges de stabilisation budgétaire. C’est plus facile à dire qu’à faire. Voyons ce qui s’est passé après les deux dernières grandes crises.
Nous avouons entretenir un “biais” stratégique en faveur du marché américain et les 15 dernières années nous donnent raison. Depuis la fin de la crise financière de 2007-2008, l’Europe n’a surperformé que durant 27 mois, soit un peu plus de deux ans. La surperformance structurelle des États-Unis par rapport à l’Europe s’explique principalement par une dynamique des bénéfices par action plus robuste outre-Atlantique.